Et je danse
Car Ô temps
Me danser
Légère
Mes ondes
Douces
Qui libèrent
La tête
D'un doux
Coulis roulis
Dans le sensible
Le vif
Pour malgré tout
Et je danse
Car Ô temps
Me danser
Légère
Mes ondes
Douces
Qui libèrent
La tête
D'un doux
Coulis roulis
Dans le sensible
Le vif
Pour malgré tout
Fais moi rire
Tu le sais bien
Avec toi
J'ai tant ri
Que je m'en souviens tant
Mon rire *ensemble
De nos âmes
De corps de nous
Donner le goût de *levivre, à un jeune homme autiste de vingt cinq ans, qui comprend Tellement,
son chemin à venir,
c'est pas rien,
c'est immense de tâche à l'accompagner son destin, pour son moins mauvais pour lui,
c'est ...
et plus encore...
A partir d'à présent, LE REPOS, LA VIE DE L'ETRE AIDANT, c'est vital!
Voilà, l'oeil a un peu respiré son souffle,
et plus encore dès à présent,
le téléphone se raccroche avec l'HP, des précisions,
une regard *ensemble, c'est essentiel, pour moi,
mon oeil peut se tromper de vue,
voilà, on est en phase,
je croise les doigts,
un cauchemar si grand, derrière,
c'est bon de regarder devant,
un bon week, dans l'ensemble,
évidemment qu'il est autiste et qu'il le reste,
mais re-visualiser toutes ses capacités, dans le réel *levivre,
Ô comme cela fait du bien,
ô comme cela fait du bien,
déjà pour lui, il y gagne en re-confiance en lui, se met à l'épreuve,
il tente des nouveautés, c'est incroyable,
et maman, elle se rit, on rit, on se rigole,
on se reprend le goût de *levivre, ce chemin,
yaouh, c'est inespéré, encore,
MERCI LA VIE pour ma vie déjà en santé, en vie de vie, qui permet d'accompagner mon fils.
Ses cinq minutes d'hésitations, de moins d'envie, de partir, ce matin, comme elles pèsent pour une mère.
Et puis, quand sa vie en lui, en Toto, avec ma vie, on se partage, on parle de *ensemble, dans douze jours,
c'est grand tout ce parcours, comme c'est immense de belles communications,
mais comme c'est inespéré, toutes nos pensées partagées,
je me papillotte devant cette vie qui offre tant, après Tellement de désespoirs, d'espoirs.
A suivre...
Tu es content, toi, mon fils, le jeune homme autiste de vingt cinq ans de chemin de parcouru, tu es content, d'aller pour onze nuits en foyer d'hébergement, et c'est peut être moi qui souffre le plus sur ce chemin, c'est mon travail à faire aussi, que de m'extraire du plus douloureux, pour vivre, l'aimer dans ses beautés la vie, dès que c'est possible. Et te voir calme et agréable, et de tendre présence attentive, cela fait du bien, où cela passe, ce matin.
C'est pas simple, le départ qui se poursuit vers un foyer d'hébergement, même si il est génial, agréable de murs, de situation, mi campagne, mi bourg charmant, avec trente résidents, ton esat sacat à 5 mn, le chef de service à l'écoute, attentif, les partages multipliés, un tel cheminement, c'est dans l'échange de chacun, le point de vue du résident, ses attentes, ceux des parents, celui de l'établissement, et quelle chance ce grand studio de 30 m2 à venir, ton lieu, ta vie de soirées de quelques nuits,
c'est un SI BIG PASSAGE DANS TA TETE DE TOI, DE MOI,
on cheminera encore *ensemble, tout le temps nécessaire, pour se donner les moyens beaux d'y arriver si tu t'y sens bien heureux épanoui. Là est le sens du parent: de voir savoir son enfant pour le meilleur pour lui, et en autisme, bien plus que dans d'autres parcours, il y a moins de choix libres possibles.
C'est un dur parcours que la vie confie de faire de marcher de se tomber se rattraper se relever encore avancer,
AVEC ESPOIRS...que la soif de beautés puisse sauver le monde! en ouvertures pour se faire du bien, à chacun!
http://autisme.blogs.liberation.fr/vivre/
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Merci Bourrache pour ce lien cité, dans ton commentaire,
MERCI POUR LUI,
MERCI POUR LES AUTISTES!
La mer avait un goût de moins salée, déjà, son ciel bleu, les mouettes,
et toi, là,mon fils, bien,
bien sûr tu es ce jeune homme si élégant de charme, et autiste à vie,
et mes yeux se pépitent si souvent,
ô ce destin cruel, la vie son plus dur, la vie cette imprévisible celle qui fait mal et blesse si fort,
The artist, on en parle, tant, et toi tu t'es levé, au bout de 45 minutes,
tu n'aimes pas le noir et blanc et le muet, c'est ton droit juste de te respecter,
alors LA MER, elle de son infini, ses remous, sa vue, cette lumière ce jour,
elle a balladé les pas, longuement, pour extraire plus encore tes nerfs, tes maux,
mon fils, à je nous, dans cette LUTTE pour la vie, en beautés...
ON Y ARRIVERA à avancer *ensemble, sur ce chemin de vie si douloureux!
Alors je vous aime, vous, plus encore, le démuni, celui qui a mal, en souffrances,
je vous aime éclats noisettes d'un bleu du ciel.
Il est revenu, il va bien, la peur me quitte plus en corps...mon fils...
Des découragements à rencontrer peser, c'est certain,
et puis c'est bon de se réjouir d'un matin plus léger encore,
de la force...en à venir...
le sommeil, la liberté aident...
à aller mieux, à envisager ce retour du convalescent autiste,
pour le meilleur pour lui, en énergies douces tendres possibles,
de la vie...douce promesse...
Mes écrits, mes pulsations mon âme, mes images, merci de les laisser, ici, dans mon nid d'être.