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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:47

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Trois jours d'exil loin du bourg d'ici, à l'Ouest, comme le Nord paraît speed, triste,

mon sourire revenu, ici, me donne de la pêche depuis ce matin, qui se retrouve,

et puis un dessous d'œil très enflé, urgences là haut, dégonfle,

comme si il en avait trop vu, là haut, mon blanc d'œil délicat,

la fatigue se repose, la lassitude aussi, le découragement se range,

Ici, *levivre, est, m'est donné de *levivre,

alors MERCI...

d'être mon ici faite ma repose mes envies tendrement ma vivante,

là haut tout est si lourd,

celle qui m'a vue sourire, c'est ma toute petite fille,

on a ri toutes les deux, on s'est serrées bien fort, si bonnes délicatesses,

que ce temps pour toutes deux, trois jours à nous aimer,

dont un jour seule à seule, notre duo magique que j'ai aimé tellement,

comme tu es jolie, et comme tu es présente, et comme je pense te comprendre,

ma petite fille chérie, on est bien toutes les deux, dans les goûteux de vie,

à m'aime l'amour que j'aime, c'est bon d'aimer aimer,

ma richesse, dont je suis fière, c'est d'aimer en amour,

sans diplôme, sans carrières, sans luxe mes quatre murs mon toit simple d'étoiles,

c'est bon d'être juste fière de son humble état d'être,

et même si fort naïve, tant pis, je m'aime ainsi,

mon berceau de naissance, il est donc bien ici,

une chance d'avoir quitté tellement d'inutiles,

et de regarder tendre les deux petites paumes ouvertes,

LES PRECIEUX DE LEVIVRE...

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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:42

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A l'instant de sortir le pied du train

Dans la gare du bourg d'ici

Je me suis ressentie

Tellement vivante

Déjà sur la fin de parcours

Ce fut si bon pour la valise

De gravir la colline

Avec un bel vent frais presque froid

Le bagage a trié cette nuit

Encore et encore

Comme la joie profonde

D'Etre son humble

Dans cette région de coeur

Qui peut battre *levivre

Au plus près en essentiels

Loin du Nord ses vertiges

Mais quelle folie a piqué le monde

Pour qu'il cavale si vite

A s'en perdre la tête

Pourtant on n'en a qu'une

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28 juin 2015 7 28 /06 /juin /2015 13:36

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Et elle remonte vers Lille dans deux heures

Et les heures suivantes entre Nantes et le Nord

Et belles échappées avant en flamenco

Et l'été dehors a le goût de la fraise

Et le marché ce matin un café en terrasse

Et ce bourg d'ici bas la vit de sa vivante

Et comme c'est fort bon cette chance de remonter

Et il y aura du gai comme il y aura du triste

Et quand on est grand mère mère et encore une fille

Et le jeune homme autiste accepte mon départ

Et il se ressent zen me semble cela fait du bien

Et *levivre en plein ciel sur la terre d'ici bas

Et comme c'est tendresses de nous serrer nos bras

Et revoir tout de chair certain du Nord d'avant

Et car il vit encore le Nord pour des aimés

Et elle vous embrasse avant son bel périple

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27 juin 2015 6 27 /06 /juin /2015 08:58

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La plus goûteuse des friandises c'est le plaisir d'aimer. Quand on peut. En le rendant possible ce tendre ce délicieux partage de vie pure. Le poème d'aimer dans son histoire vécue. C'est fort de fort de vie. C'est *levivre dans ses beautés bontés. C'est ce qui fait exister si tendre si délicatesses dans l'élégance du temps, sans se lasser d'aimer.

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26 juin 2015 5 26 /06 /juin /2015 13:36

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On n'oublie pas. On perle sa prunelle. On est là. On est si là.

D'un coup d'œil du jour si bref, trop court,

la journée bien trop remplie,

et déjà le temps ses 15H30 d'aller chercher le jeune homme autiste de vingt huit ans mon fils, pour son dernier aquagym, avant Septembre.

Je suis fort émue, je relirai ce soir, on espère, on y croît de se revoir.

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 17:04

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Je rappelle ma mère, si faible, avant hier encore, ses souffles en pleine oreille émue bouleversée en raccrochant le tympan,

et sa voix est plus forte, je me souffle un peu, c'est difficile de se contenter du téléphone, pour entendre dire, s'aimer encore,

et quand le panier se sort, prend une allée, croise une jeune maman avec son bébé dans les bras, sa mère remplit le caddy, ce qui me surprend c'est qu'elle décroche son téléphone, avec son bébé dans l'autre bras,

je me sens si loin, des deux, des aides que je pourrais donner de ci de là,

un destin en séparés, c'est lourd, on se sent bien plus seul, c'est certain.

Cela reste si difficile, comme ces derniers jours, d'être loin de tous,

c'est mieux aujourd'hui, je sais que je suis là, pour que mon fils autiste, soit bien dans sa peau, comme il l'était ce mercredi matin jusque 13H30, in home, dans une marche dans le bourg d'à côté de ses ESAT et Foyer d'Hébergement, un café en terrasse, la table partagée,

aimer c'est tellement être de présence de chair,

pourtant je sais tellement que j'aime mes aimés, au loin, sans qu'il me soit possible de boire un thé, embrasser, échanger nos points de vues, rester sensible en présence pure dans des pudeurs,

c'est incroyable d'avoir à mener de front,

cette double écoute au téléphone, parfois, avec ma fille et petite fille, mon gendre, et ma mère...

Cinquante quatre ans séparent ma mère de sa petite fille, et chacune mérite, ô combien, mon oreille attentive aimante tendre et en douleurs parfois de les entendre et d'être dans l'incapacité de les soulager..

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 13:41

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Les sens revenus, la tête plus calme, vertiges au loin, la paix de la main, coulis de mots, la bouche pleine de gourmandises de ce matin,

poumons tous neufs, bels aérés, la jambe nue dans ses chaussettes dans les baskets pour se marcher, des tas de ciels, dans un même ciel, de la terre ferme sur le chemin, dix kilomètres c'est peu beaucoup, le dynamisme la vie dedans au bout du compte,

le courage revient, l'envie aussi, c'était horrible ce goût de six planches bien avant l'heure, broyée secouée, effondrée vive, youps c'est derrière, un tel passage à fuir devant...

L'amour de *levivre le transmettre à d'autres je m'y engage, je vous embrasse belle élégance. Le corsage blanc ventile un souffle au goût du bel, une jupe fredonne ce jour d'été, le léger revient,

c'est une chance que de revoir ma liberté, plutôt qu'y voir le reste des barreaux.

Des jours, des soirs, des heures belles pour prendre *levivre au goût de *levivre, *l'écrire, *leparler, à s'en saouler de toutes ses forces,

c'est d'énergies en tout dedans, que les combats peuvent se mener accompagner aider aimer,

et quand la joie de déguster des écrits tendres,

le romantisme en tout dedans, se vivra encore, puisqu'il me vit, délicatesses, beautés jolies,

une élégante du temps jadis...

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 13:38

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https://www.youtube.com/watch?v=SKr57h39LOs

Les délices du temps présent

A s'en partager de *levivre

On peut accompagner

Beaucoup de combats

De sa chair vive son mot de pore

Et puis se souvenir

Tout jour de proposer

Le temps de vivre

En amour

Quand la plume sa délicate

Aime à en perdre la tête

Parfois les ondes la décomposent

D'autres fois c'est Force Vive

Le doux malheur tendre tragédie

D'un bel amour

Son amoureuse

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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 22:21

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Après des effondrements,

c'est bon de serrer ses espoirs,

de croire en des possibles,

se saisir de ses bels rêves,

de se chouchouter d'y croire encore,

continuer pas s'arrêter,

car à force d'avancer,

peut être on y arrive,

qui sait?

sans projets et sans habitudes,

prendre le temps de rêver,

le beau temps de prendre le temps de vivre...

et si l'espoir revenait...

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24 juin 2015 3 24 /06 /juin /2015 17:19

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Un abricot, une pêche, le doux coulis d'une cerise, les fruits de cet été, ont cette saveur unique, d'un été de passage, qu'il est bon d'accueillir, chaque seconde de vie,

ma mère son souffle court, ce matin, à l'oreille, cela fait mal, c'est fort dur, mais c'est encore de la vie, à *levivre avec elle,

pourquoi pourquoi la vie, tant d'épreuves dans *levivre,

quand *levivre pour chacun serait un paradis,

je souhaite à chacun de beaux moment à vivre, en le prenant ce temps, en le goûtant précieux, dans le creux de sa paume, une main dans la sienne, ou le regard ses yeux en communion d'un autre, la fusion de deux êtres, c'est bel amour sur terre.

Humble et son si petit pour le changer le monde, alors si un regard, une attention sa vive, peut apporter encore de la vie de la vie, à celui qui en manque,

aimons chacun, ensemble, quand il en a besoin, en chemin douloureux bien plus que difficile, parfois son impossible, qui pourtant est tenté marché goutté sueurs, par des êtres si grands, qui voient tellement possible l'impossible si il est,

dommage que dehors laisse invisible dedans, la taille des âmes si belles, qui refusent l'éclat, et vivent dans le secret, car aimer c'est intime, d'un cœur gros son trop lourd parfois ratatiné sous les trop de la vie.

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