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22 juillet 2015 3 22 /07 /juillet /2015 21:16

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Les cris d'un enfant, ses douleurs, l'insupportable de *levivre...impossible!

Incapable de visualiser des images insupportables...

quand déjà le vaccin pour enfant, fait mal en soi, le parent, le grand parent à distance.

On souhaite pour chacun, des joies, des bonheurs, des bons, des beaux,

mais au fond de soi, on sait bien que les hurlements, les peines, les mauvais, les laids,

c'est dans la vie aussi, sans *levivre en dedans en merveilles précieuses.

Ne pas se résoudre à accepter les laideurs, c'est rester vivant, d'émotions pures belles,

la création du monde pour qu'il souffre?!

la création du monde à adapter pour qu'il vive sans souffrances!

Et même si c'est parfois douloureux d'être son sensible,

c'est sans nul doute bien plus vivant que d'être son mort dans un carcan.

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22 juillet 2015 3 22 /07 /juillet /2015 16:30

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Cela fait du bien

La foi en *levivre

Quand il cueillette

Des beautés des bontés

Et ces dons merveilleux

Bien plus précieux encore

Quand ils se donnent

Sur un chemin difficile

C'est bon de les transmettre

Pour d'autres sur leurs chemins

Quand ils sont leurs plus simples

C'est tellement *levivre

Désencombré d'inutiles

Juste sur un chemin qui vise

Les lumières dans la simplicité

De *levivre en amour

L'amour donne des ailes

Et c'est longtemps après

Une fois traversé

Qu'on se surprend à être

Celui sur ce chemin

Il est à moi,?cela? cette?

*levivre ainsi fait de vécu

En amour on voit peu

Et c'est fort bien ainsi

L'amour vise la lumière

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 22:25

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Une journée rang pli

Pas beaucoup de poésie

Quoique...quand m'aime

Lessives au garage

Valises vidées

A re-remplir en bas

Prochain départ

Dans huit jours

Juillet de partir revenir

Son RV avec la spécialiste

En autisme

Cela travaille beaucoup

Encore

On avance sur le chemin

Pour lui de lui

Un peu sonnée de solitude

Au retour

Cela bouscule

Son chemin de *levivre

En amours, tout jour

Encore et encore

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 08:18

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Une grosse libellule passe dessus son ventre, sur le transat en ombre, un peu ventilé, la toto s'arrête, des bécasses, deux lapins, des chenilles processionnaires, une file, une autre, le soleil tape si dur même si à 900 mètres, sur le causse de Sauveterre,

et puis, l'Aubrac, on fuit les bourgs de touristes, un buron, un agriculteur jeune sympa, son épouse, leur aligot fait devant une petite dizaine de personnes, les tables dehors, les vues, la liberté immense, d'être là, le jeune homme au top dans toutes les découvertes,

si jolie liberté, que le voir si bien,

LA PAIX est belle d'immense, et le petit être frémit son parcours d'être, derrière...et ressent Aujourd'hui, des forces qui reviennent, pour encore avancer,

de belles lumières happées, à redistribuer...

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 08:09

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Sans mentir, cela semblait lourd d'envisager un périple vers la Lozère pour des foultitudes de raisons, il y a quinze jours, envisageable il y a huit jours,

comme l'envie à la fois, et la non envie de r'ouvrir des pages de vie, d'un lieu de vacances vécu plusieurs années...

et puis finalement,

la Paix est grande au retour, l'âme gardienne des plus beaux souvenirs, il semble bien que les plus horribles aient déserté l'être en dedans, alors, c'est bien...

*Levivre son présent son flash sa précieuse c'est bon c' est bien c'est régalant.

Le volet s'ouvre sur Aujourd'hui, les hirondelles dans le nid, les hortensias secs sont arrosés, cela fait son bel effet d'être que de se retrouver ici, à l'Ouest,

c'est pas simple de naître dans une région, de la quitter, de partir en vacances ailleurs, de revenir sur son second lieu de naissance, et de s'y sentir si bien, comme si avant c'était si loin, bien plus loin qu'en distance de kilomètres. Le temps avance et surprend d'être celui ou celle, selon,

le chemin parcouru, à parcourir...

C'est si doux d'ouvrir sa petite paupière et d'accueillir le jour, sans canicule, il a fait tellement bien trop chaud...la douceur des traits, l'apaisement, les joies, c'est bon...

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 08:00

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Il y a eu des purs moments de grâces si belles en lumières en autisme parcouru ses vingt huit ans

Il y a eu des rares instants qui semblent des éternités dans leurs dix minutes plus dures

Il y a eu des retrouvailles avec ce lieu de vacances d'il y a treize ans

Il y a eu des tendresses avec soi car dans l'humilité d'être que soi humain tel

Il y a eu des silences, de la paix, des nostalgies, des précieux frais moments sur l'Aubrac

Il y a eu cet aller et ce retour c'est loin pour lui mais c'est il y a eu ces possibles non impossibles

Il y a eu maintes et maintes fois ce rapport à la liberté d'être en mère d'autiste

Il y a eu tellement de moments bénis si délicieux que le visage s'éclaire d'un je ne sais quoi minois

Il y eu tout ce parcours derrière à *levivre chaque jour comme çà, de durs, de doux

Il y a eu ce qui donne à dire aujourd'hui qu' ...

IL Y A EU dans ses tellement IL Y A dans sa précieuse goutte de *levivre son nectar pur

IL Y A EU des piments de vie, des énergies en ondes belles, qui permettent d'envisager qu'...

IL Y AURA

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 22:29

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Dans la beauté d'avoir la chance énorme de temps libre, le départ dans cinq heures,

et cette pureté d'éclat ses pépites d'aimer sans me lasser,

huit jours sans écran, sur un Causse récupérateur, énergiseur de belles énergies,

avant d'envoyer un courrier personnel, du plus profond éclat d'un bout de ciel,

gmail, salomédanse, des pas de danse qui arabesquent la plume d'un éventail délicat,

ses charmes rosés les joues sous la houpette du temps,

il y a les grâces du temps, c'est fort certain, et comme c'est bon de bel de vrai d'intime de délicat joli.

La poésie me vibre murmures doux, penche ma tête, déhanche l'épaule, tendre minois vers un rayon, si bel bout de ciel...un jour on aime la vie tatoue de l' indélébile, on s'en étonne surpris de vie, la vie déroule son film d'images, et comme c'est grand d'aimer autant.

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 22:06

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Sans me lasser jamais, de t'aimer...

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 13:17

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Deux hirondelles semblent nicher à nouveau, les orchidées sont arrosées leurs petites pousses en feuilles en haut de leurs tiges je suis émue devant, le petit jardin ses mousses sèches, il fait si chaud ici, le bois tendre, ma toto ma fidèle, ce petit monde complice, des échanges des copines, ce second berceau de

levivre est tellement vivant,

quelle chance d'être ici, que je la remercie, ma vie,

de vous de vous d'être bien Là, et comme je suis radieuse, et comme je suis émue, en poète ma vie, comme je l'aime dans mon œil qui aime aimer aimer...et être aimé aussi.

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 12:51

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Un long temps d'analyses, de remises en questions, de face à face devant son miroir, cela remue, décape, décapite, scie, vacille, met hors vivant...

et se revoir, le volant de *levivre dans ses mains, des trucs pas trop mal faits derrière, cela donne foi, en demain...

Pour le moment, départ demain, vers un break de huit jours, du sport en nages, marches, de la jolie rando de tête décapsulée, ne faire rentrer que le paisible, dire stop aux inutiles turpitudes, des trucs jolis à enfourner, des et des plus encore...en l'instant dit, l'Envie y est, de partir sans effort à fournir, les bagages, y'a plus qu'à *levivre ce temps de grâces...

le temps des derniers jours a reposé, les huit derniers jours passés, ont reposé si fort,

essentiel de prendre soi de soi, on ne peut être que pour les autres, et s'aimer soi est doux plaisir, aussi...

Un séjour sans ses sœurs, une déménage, finalement, l'autre craint la canicule de route pour sa fille, et si ce fut à deuiller, il en reste le plaisir simple de me reposer au maximum...Merci *levivre, merci ma vie pour tes surprises inattendues...

Curiosités vers d'autres sites, des gens, de la paix d'un Causse tranquille, un bourg ses tendres, un voyage comme il se fera, la joie sincère de retrouver le jeune homme autiste ce soir, LEGERE SAUTILLANTE comme je m'aime me *levivre pour MOI et pour les autres...

j'étais à bout de forces...

ET QUELLE BELLE JOIE DE RESSENTIR DES ENVIES SI BELLES SI FORTES DE...

*LEVIVRE!

Je me ressens à nouveau si LIBRE et comme cela me va bien d'être que moi!

Ici je me vis tellement d'être, et des belles envies du bout des doigts en plume jolie, me reviennent, des projets, pour la rentrée,

des voyages à faire de personnes qu'on aime à serrer, si douce complicité, des trucs beaux, de la belle liberté à user abuser...à venir...

Et en attendant dans la sagesse qui n'attend pas, et apprécie max aussi,

CE DELICIEUX SALUT DU CIEL, pour demain, à marcher l'Aubrac, siroter un truc, glouglouter en gourmande, œil dans l'œil avec une vache, du fromage fondu,

et la ligne à user abuser de nourrir en bons fruits et légumes, pour que le pied léger marche à n'en plus finir quand les joies de *levivre font tellement de bien.

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