Le réveil sonne ses sept heures trente oreiller chaud, un peu de songes, le pied son sol, une douche tendre, le réveiller son ciel de *levivre, petit déjeune, le café gloute, c'est bon c'est chaud, son plateau bel la table de bois, son minois serein au matin, du miel, des tartines aux céréales, un yahourt son son de blé, des pruneaux, une poire cuite, le rappel d'un bout de nez à se laver, un peu d'humeur, le pot de miel par terre, une dizaine de jour peut être plus à fleur de peau, quelques flash sur les doigts d'une main à ne pas oublier et à bien prendre en compte, c'est suffisant de rappels douloureux, peut être l'Automne, c'est que c'est pas gai de quitter son soleil pour la pluie de ce jour...
pour lui pour d'autres...
ma patience grande sait qu'elle gère bien, tout en tendresses, rires jolis,
on part heureux après les dents, la porte s'ouvre, la plante verte dégringole juste devant, pensées fort belles pour les petites plumes, et un *vivement qu'elles reviennent les hirondelles me sort de moi, comme çà! la Toto est mouillée son intérieur bon sec, de grandes chances d'être chanceux, la route se prend, moments détente, on se papote, je l'entends bien, il propose d'aller voir les oies près du petit lac près de l'aquagym, de son vendredi soir, la dame en deuil pour cette semaine, je dis que oui, quelle bonne idée, des projets de vie cela gonfle le coeur de duvets souples et si légers...
et mon retour, deux mini pains chocolat, aux raisins, un petit café devant le marché, des parapluies, des gens, cela vit, mon agenda les jours d'après, des petits projets, la page se tourne, 2015 est, projections belles ses week foyer par mois, cela s'écrit, cela se vit, cela est bon...puis le pas sort ouvre sa tente, fouine du nez des doux vêtements, le tour complet, fromages poissons, légumes de la dame, premières endives, leur gratin chaud fleure déjà le bout du nez de vendredi soir...
c'est bien comme çà...
et de retour, pour aujourd'hui, pas mal de trucs, un mont de vêtements, des étiquettes à coudre pour lui, il a enlevé ses étiquettes sur des vêtements dans son placard au foyer, encore un flash puissant: NON, faut pas que cela recommence son mal être, d'ailleurs je dis n'importe quoi, il était fort bien hier soir, mais rien n'est à gommer, encore moins le plus petit détail...
quelques chaussures de cet été, à nettoyer se ranger d'être l'étage du dessous au petit garage, laisser encore espoirs dedans des sandales coquettes car il paraît qu'il va faire chaud en fin de semaine,
et si seulement, un beau week end, même si le dernier de l'été indien, ce serait bien pour l'âme sa pleine qui rentre du chaud dès que c'est possible pour avancer dans du plus froid ses légèretés, ses profonds tels...
happer *levivre le bel le chaud le léger bon le goûteux d'être ses beautés tendres à l'amour doux...