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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 16:00

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On ne souffre pas dans la clarté

Ou si on souffre c'est pour chercher

Vers où aller son réagir

C'est le cerveau qui a les clés

Pour s'ouvrir aux plaisirs bien plus

Et bon de ne pas oublier

Comme un cerveau mais c'est d'un bête

Faut toujours lui apprendre à Être

Son envol tendre, ses bonheurs simples

La Nature belle aide ses bottes

Et le petit être son panier

S'engorge se tremble de son vivant

Mais pas de peur... de douces ondes

La vie régale quand elle est bonne

 

Et aimer son tout simplement

Cela libère, donne rouges aux joues

La fenêtre ouverte dix sept heures

Un peu frisquet mais comme c'est bon

Le foulard réchauffe la nuque

Le pied son libre va se sortir

Pourtant il vient à peine d'entrer

La vie dehors est un régal

L'Eveil du Printemps cela se fête

J'ai hâte de serrer tendrement

Ce ciel son bon sa lumière chaude

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 10:16

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Une certitude intéressante,

celle de larguer ses certitudes,

pour se trouver se découvrir,

sur des chemins à les marcher,

la joie sa pure le soleil,

des gouttes de pluie une giboulée,

la lumière rentre, le vide bel plein,

cette liberté se la serrer,

de jolis coins, de belles tendresses,

la vie est belle dans son goût de vie.

 

Et en une vie on ne peut tout voir,

mais se remplir dès que possible,

de parcelles douces, breuvages précieux,

c'est une chance, son petit miracle,

d'être sa vie.

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 08:46

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Un jour neuf,

qui pense à se vider la tête encore,

c'est bon de jardiner son petit lopin,

sur un bout de terre sans mauvaises herbes,

alors la tête prend ses petits outils,

et a une jolie idéee en tête,

s'ouvrir son ciel, sortir,

pour la serrer la vie, encore,

la vie vivante fait du bien.

Se ressentir juste Aujourd'hui,

et balayer les traces du passé,

ce n'est pas la peine d'appréhender,

que le pire puisse ensore recommencer.

 

Aujourd'hui, EST,

 

à le happer, à le vivifier, à le dorloter, à le Grandir encore,

 

le jeune homme autiste, mon fils,

 

en lui offrant mes goûts de *levivre.

 

dans la paix, le bonheur, l'amour.

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 20:54

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J'avais beaucoup de chagrin après l'avoir déposé à 13H45, en retard, un blocage à la fin du repas, sa lèvre qui resaigne encore, il s'est coupé en se rasant, il a fallu appuyer, puis cela resaigne, et réappuyer...

et puis je dois me soumettre à avoir vu mes limites, et à pouvoir le laisser dans d'autres mains,

mais cela reste dur,

et pourtant faut que je sois heureuse dans des coins de quelques parts, il a une place,

et *il va bien, m'écrivait par mail sa chef de service ce jour... en me confiant d'autres mots pour l'administratif.

 

alors, l'amour comme cela fait mal, parfois, et comme sela fait du bien, aussi!

 

quand le bonheur d'aimer, et le vide qui m'arrive m'a retiré ce bonheur d'aimer...mon équilibre se cherche?!

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 20:28

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Ecrire, c'est parler d'amour, tout simplement.

Et parfois, le silence, qui parle d'amour aussi.

Et puis, parfois aussi, la clapotille en soi,

quand le jeune homme hier soir dans un café,

monte en tons encore, car poser sa main,

sur la dame du mardi, assise à côté de lui,

c'est tout simplement interdit pas la loi sociale,

il avait l'envie qu'elle se démarrie...pour lui...

 

Alors, secouée, encore, bien droite dans la story,

après encore, à me demander comment...

et puis étiolée, déçue de la vie, si seule,

mon mercredi après midi...

 

un thé chez la connaissance torréfactrice, avec du jasmin,

des mots, ensemble, elle est Humaine, parle de sa grand mère,

moi, je me tais, l'épisode d'hier, j'ai envie de le garder pour moi,

tant de chagrins déboulèrent, ensuite,

comme si à bout de courses, la vie devait m'être sa simple,

 

la vie c'est juste la vie, comme elle se donne,

et un café en dehors au soleil mi caché, ce midi, ce fut bien,

le bouquet d'oeillets est si beau, la cuisine une merveille,

les mains ont bien de la chance de penser des petits plats...

 

Aimer, plus encore, quand on sent qu'on s'enfonce,

car Aimer ravigote, ses sourires ce midi, des platines de ciel...

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 20:08

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Ecrire, c'est déjà, une histoire d'amour, avec la respire de son coeur.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 15:13

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L'ouvrage d'une vie, c'est fort beau quand le coeur,

 

penser écrire en amour en autisme, c'est ainsi fait de vie,

 

c'est donc bien impossible de l'écrire autrement, ce petit tas de feuilles,

 

la cuisine ses tris, elle devient sa pimpante, c'était bien nécessaire son lifting de Printemps,

 

et le soleil dehors incite à le marcher, la seconde partie attendra son plus tard,

le soleil n'attend pas quand on veut le cueillir,

et son invitation, ma foi, je m'y engage, ma Toto sort ses roues, pour me marcher mes bottes.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 12:28

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La fraîcheur dans la délicatesse d'aimer, ses petits murmures en coeur.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 12:20

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Le soleil se marche le coeur un peu patraque, la mémoire n'efface rien,

et dans un sens c'est bien, et dans l'autre sens c'est moins bien,

 

le Printemps pousse doucement l'Hiver, mais c'est encore l'Hiver,

les tris reprennent, c'est pas une mince affaire, le remplissage du temps,

il remplit ses bien trop,

et c'est bon de libérer, de faire de la place neuve pour accueillir, le jour.

 

Et la mélancolie tendre traîne ses charentaises, les ballerines c'est parfois...

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 09:19

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Le rayon du soleil touche le sale de la vitre, tout est calme derrière, aucune bise,

le jardin donne envie d'aller le fouiner dès que la température plus haute,

l'éveil du Printemps, avec encore ses froids de nuits,

la lumière est, le ciel dégagé, c'est bon,

 

quelle chance hier de marcher cette plage, d'entendre les roulis,

les bottines bien à plat sur le sol de la terre,

 

le bâton éventail aujourd'hui se ventile, des cendres sont derrière,

 

un oiseau saute de branche en branche, l'amaryllis devant a croqué une grande feuille cette nuit,

celui de la cuisine qui est de l'an passé, s'est contenté de deux feuilles, vite croquées, cassées,

mais l'espoir tout dedans, que ces deux bulbes offrent encore, des jours, une fleur, sa merveille en couleurs,

 

le bouquet sa douceur au centre de la table, ses orangés oeillets, bien beaux et lumineux,

l'Hiver secoue ses plumes, et les duvets dessous, sont plein de pensées neuves,

 

la vie son chaque jour.

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