Un matin à sortir, expirer, inspirer, se détendre, tenter de gérer des stress puissants, dans ce passage douloureux de vie, puis, une galette, des gens, les pigeons sur le toit, un ciel haut après la pluie du matin,
cela oxygène, perle de vies, un cheminement, le bourg ses simples, cela enrichit en source douce, loin des stress inutiles, des courses folles, des envies leurs inutiles,
le si bel sens de vie, juste se ressentir vivant, et se garder en vie, pour partager, encore...
Un gros passage de vie, que cette rentrée...déjà rentrée depuis deux mois...sans sa cadence de *cela va, il faut tant manoeuvrer pour que cela aille... c'est un travail de vivre, quand *levivre se souhaite nourri des ondes belles, jolies, douces, à fleur de peau belles aises.
Le bailement, un étirement, le pantalon flotte, les émotions vives cela creuse, mais le pied allégé en profite de descendre en volant l'escalier vers le bas, son yucca vert de cru, ses pensées, la bruyère rose, une vivace grasse d'une dernière fleur jaune...LA VIE.
Un pigeon se pose une branche, elle balance, il bouge sa tête, la branche se calme, rassurée de sa présence ailée tendre. Les feuilles tombent et découvrent, plusen corps, les volatiles de cette cage ouverte sans barreaux, de poumons libres, en ailes petites, grandes, grises, blanches, de couleurs, le calme, son tranquille au petit bois,
il serre bontés en cet Automne particulier.
Expiration, inspiration,
le pigeon est encore posé sa vie, il lustre ses plumes, un petit moineau posé sur le grillage,
tout ce petit monde s'active, et cela fait du bien où cela passe.