Un départ si douloureux hier matin, avec cette addiction féroce, destructrice, qui prend toute sa tête en iraisonnés moments, des moyennes difficultés ce départ de matin d'intensité lourde aussi, même si plus encaissable pour les nerfs,
des mots, des échanges avec des pros, encore, alentour, ceux qui l'accompagnent, pour ne pas faire n'importe quoi,
pour être pas trop à côté de la plaque en parent, ( avec cet affectif qui parfois dessert bien plus qu'il ne sert, en encaissements possibles, quand l'amour est si grand! ), tenter de parler délimiter de façon la plus juste possible ce qu'est une crise,
et une crise, c'est déjà bien avant l'échappée de violences qui en sort qui en ressort,
les choses, les faits, se posent, bien plus,
et cette arrière goût Tellement fort, de comme *levivre à nouveau, ce lourd temps de fon d'année 1987,
avec le service neurologique infantile du CHR de Lille,
cette fois en Automne 2011,
avec le service psychiatrique adulte de St Nazaire, avec le psychiatre qui le suit depuis 2 ans, avec le psychologue qui l'accompagne depuis neuf mois...
c'est comme si tout recommençait,
et pourtant,
cela ne fait que continuer, dans cette voie d'Aujourd'hui!
Et même si j'aime la Paix, par dessus tout, déteste la castagne, la violence, les heurts, les chagrins, de vie,
ce pas se poursuit, vers devant! il est nécessaire de Tenir encore!
Un stage temporaire de onze nuits, tombe à pic, ce lundi, temps de rupture, de ressourcement, pour se poser, reposer, naviguer, rouler, rencontrer, voir, entendre, AUTECHOSE QU'EN AUTISME!
de Belle île à ravir, du Nord à partager, d'un Thoureil à manger...
LE REVE DE MON TEMPS, rien que mon temps à moi! si croquée malmenée tout ces cinq dernières semaines, folles, si folles de vie à se survivre dedans, et à se vivre, dès que possible.