Un beau week Tellement,
commencé à vendredi 16H50,
c'est si bon de rendre heureux,
son enfant né un jour,
un sens de vie puissant...
Un beau week Tellement,
commencé à vendredi 16H50,
c'est si bon de rendre heureux,
son enfant né un jour,
un sens de vie puissant...
Il y a des semaines, à l'encre noire, ce fut une semaine ainsi faite, même si le ciel bleu...La distance essentielle pour chaque respiration, se rester en surface, ne pas s'envoncer vase,
qui garde encore deux jolies branches de marguerites blanches, une plus vigoureuse que l'autre, mais les deux s'y plaisent sur ce bord de table, loin des pressions de vie, que la tête peut subir...
C'est déjà vendredi, à l'attendre à l'ESAT, dans cette chaleur si forte, plus de vent aujourd'hui, et le corps apprécie de s'envoler l'étoffe, d'accueillir ce bon frais sur les pores de la peau...
une semaine si chaude, sa suffoque intérieure...
Que vive déjà lundi pour de plus amples mouvements respirés leurs sereins leurs libres dégagés...
la plume avait pris un coup de chaud dans l'encrier dans sa vie, l'eau redevient plus bleue, c'est une histoire à suivre, que la vie ses couleurs, dans les nuages du temps, le petit gazon son vert brûlé par tant de vif...
La fenêtre ouverte, des oiseaux leurs cris, c'est doux, c'est l'été, des mouches, un papillon passe, un autre...
il y a trois jours, une ballade en canot sur le Brivet, des berges, un ragondin, des poules d'eau, la rame à droite, parfois à gauche, aidée par la dame du vendredi au bout du bateau, et le jeune homme autiste assis au milieu, tout regard vers par tout, lui qui ne voulait pas tenter cette échappée, mais maman telle envie de pagailler sans ramer, des libellules, beaucoup de bleues, des arbres, du silence, des oiseaux, un petit pont, le passage sous le futur viaduc en construction, de la chaleur, de l'eau, de l'ombre, de la lumière, des vifs de vie à pas louper...
belle virée, encore une fois...la vie devant qu'on ne connaît pas, et qui se trouve dans ses virages, un petit chenal, le grand cours d'eau, une eau sa plate, des pleins de moustiques, une eau pas claire, c'est le Brivet.
C'est étrange comme c'est possible d'oublier, parfois, la saveur réelle des choses, des faits,
j'en avais oublié, presque, comme le goût de l'été chaud fait son bien, emporte dans le ciel bleu,
la Toto a des ailes, se dépose sur la place, et sillonne les ruelles, celles au trottoir à l'ombre ventilée par une bise forte et si jolie, les cheveux volent et sèchent la nuque, il fait si chaud ses trente sept degrés,
le froid a été si long si frais si pas de saison de printemps, que cet été qui arrive d'un coup d'un seul, cisaille, éblouit de merveilles, le palmier fait du charme de cet Ouest que j'aime si fort,
la Main tient l'arrosoir, les plantes sont déshydratées, les hortensias fripés, les bégonias eux resplendissants, comme c'est joli, dans le petit jardin ses bontés de couleurs et de bien être, sur le devant les géraniums sont magnifiques, de rouges de roses, le yucca pousse fort,
comme il faut bon être ici, dans cette région, because *levivre de mon fils autiste à tenter d'accompagner dans les extrêmes, et je lui dis souvent, qu'il m'a donné cette possibilité immense de m'extraire du Nord, dont je ne veux plus, qui me rend triste à chaque remontée, j'aimerais tant que tous les aimés de là haut puissent mesurer de vie réelle en habitant ici,
comme la vie d'ici bas, est plus légère, plus belle, plus aérée, plus ouverte, plus amoureuse encore,
dans cet Ouest béni, chaque jour est sa fête, malgré ses malgré tout, et c'est bon d'être en fête, un pétard dans le tête, un bateau dans le coeur, de l'amour son plein l'âme, quand la santé permet d'apprécier ses bontés à la vie, chaque matin au réveil, de se lever, marcher, d'ouvrir un l'oeil et voir, de se régaler son miel avec un thé si bon, de naviguer les bras en ronds dans le courant de l'air, d'ouvrir fort grand la bouche pour la gober la vie, d'ouvrir grand la fenêtre et sentir ressentir,
comme la vie jolie!
Libre de flotter
Si plein de grâces
Merci la vie
De me donner
Ce goût de *levivre
Qui est en moi
Le donner à d'autres
Me met en joies
En amoureuse de ma vie
Les chagrins d'épreuves lourdes
Derrière
Aujourd'hui inondé de soleils
En confiances
En la vie
Pour les aimés de tant
Et pour soi
La vie va
Ô mais que oui
Comme je l'aime
Et j'embrasse le ciel
Mes pépites offertes
Pour les meilleurs à venir
La vie est un cadeau
Parfois sa débordée la vie paraît sa lourde
Mais la vie reste la vie
Et la vie au plus près
Reste ce sucre d'orge
Précieux ce miel d'été
Hier soir un sms *je suis là
*Merci cela me touche beaucoup
Aujourd'hui sa voix d'à peine réveillée
*C'est dur
silence
*Repose toi...
Hier soir, dans le silence,; son petit jardin était un petit autel de *levivre, tendres roulis avec les douces, elles sont si belles, le gazon pousse jaunit aussi, le soleil là brûle si fort, puis juste après parfois le froid, deux saisons se succèdent en quelques heures,
ainsi le temps, comme le coulis, des émotions de la vie pure, tout près de la vie...
un temps de repli, de mots avec le ciel, de pensées belles,
tant d'évènements cette quinzaine,
l'être s'étonne, d'être son calme, son apaisé, devant la vie, elle décide tant la vie dedans, et soi aussi son petit volant pour guider tendre le vélo de sa vie, son tour du bourg, et alentour, cette région, celle d'à côté, c'est bien assez,
le Nord est loin, d'une autre époque, d'une autre vie, des brouhahas, des peurs certaines, de l'énergie max à dépenser, dans tellement de sens,
comme il est bon ce temps son doux, juste *levivre à apprécier, se secouer, cette fois j'y suis, ôla de la, sans être las, comme j'y suis, les douceurs d'être donnent des forces leurs incroyables, le goût de *levivre étonne encore, aimer son jour saveur du jour, tendre roulis, douce barque de bois flottant, dans un courant, qui peut emmener où est la vie,
une mouche dans le séjour, des cris d'oiseaux, la fenêtre ouverte, l'air bon et frais, le vert des arbres, et puis dessous...
un petit chêne de près de 50 centimètres, contre le bois de la palissandre, comme c'est joli, comme c'est précieux, la vigne vierge, les lierres nombreux, deux hortensias pointent leurs fleurs, les bégonias sont gigantesques, une pensée rare dans la vasque de la terrasse du Nord, tout à côté un petit lilas a volé là, des petites marguerites leurs graines libres,
et le gazon, hirsute par endroits, cela lui va bien, son air coquin, si naturel, l'authentique beau, poussées de graines, le rosier offre ses vingt roses rouges, une plante ses grosses perles mauves, comme c'est joli, comme c'est merveilles, ces fleurs diverses, poussées de terre, d'un bulbe, d'une graine, d'un semis, la vie vraiment, c'est incroyable, quand elle se vit et donne *levivre,
cela fait du bien,
cela fait du bien,
en amoureuse de *levivre beau de le vivre bon, ce temps sur terre, près des aimés, serrés collés en tout dedans,
jamais sa seule, en tout dedans, même si la solitaire se laisse voir en image de réel.
Une journée de brume, un peu frisquette, et pourtant, le bourg offre ses charmes, douces papotes, tendres échanges, plus douloureux aussi,
pour elle, demain, c 'est un curetage,
et de l'avoir traversé aussi ce passage de vie, c'est triste de douloureux, c'est une traversée comme celles dont on aimerait tant être épargné,
mais la vie est telle, faut croire,
et elle soumet, parfois, si fort...
Quand deux tendres promesses, puis l'une qui s'évapore, et quand ensuite la seconde se meurt aussi de vie,
c'est impossible vraiment d'y voir de la poésie, quand sa vie sa cruelle,
alors le regard las se tourne vers le bois, vers les fleurs d'ici bas, un sourire, le partage,
c'est bon de rester en vie, même si la vie cruelle ne fait pas toujours de cadeaux,
elle décide tellement,
d'évènements si forts,
que la vie...
que la mort...
alors se la serrer sa luciole de confiance, en la vie, en la belle, en la beauté ses charmes,
tout ne peut être gai...
tout ne peut être triste...
Mes écrits, mes pulsations mon âme, mes images, merci de les laisser, ici, dans mon nid d'être.