Quel régal que ce petit café, en terrasse son chaud doucement parasol, ô quelle vie dedans la voir passer ces gens, des connus, moins connus et puis des inconnus,
et ce pain et sa rue, si douce ritournelle,
comme le doux potager, content de ses courgettes, qui grossiront encore pendant le voyage dans le Nord, pour demain gai fleurettes, alors se sentir réjouie devant cette nature qui pousse son allégresse, ah comme ce fut bon,
et puis une framboise rouge, en ce milieu Sepembre, comme elle est sa croquante, plein d'autres franboises vertes, yahouh quel doux retour dans quelques jours ici,
c'est ici que *levivre a ses belles dimensions, la qualité d'y vivre est tellement sa bonne, sa douce, sa tendre,
et tant déjà pour lui, mon fils, autiste ses vingt sept ans et demi déjà...
et ce tellement de vie qui s'offre dans ce petit coin, m'amène à remercier tous les efforts derrière, pour en arriver là, le calme est revenu, parfois des plaques sysmiques tourbillonnent la tête et r'ouvrent des épreuves, mais quand elles sont passées,
s'offrir belles caresses en bontés en beautés par la joie son chaque jour, c'est une belle quête pour que son coeur heureux, léger et bon. Le passé ne s'oublie pas, mais quand il se range calme, tendrement reposé, il est tout simplement sur le chemin derrière, qui se regarde tendrement, c'est fou comme mon regard aimant peut aimer sa vie telle, dans ses passages tels, mais c'est si palpitant une vie en dedans, qui s'est donnée, a tant reçu, alors comme cela reste si bon de remercier le jour, d'être celle à présent, par son chemin derrière, on remonte à trois demain, nos vues ont discuté, plusieurs mois, chacun respectant l'autre, mais maintenir UN SEUL regard éducatif cohérent obligatoire pour le fils autiste reste essentiel à vie, au plus près du plus près, et c'est parfois pas rien, mais c'est ainsi soit il notre vie de vivants...
car la vue tout devant, son chaque jour son jour, je la veux qu'amoureuse des beautés des bontés,
c'est une grâce telle, d'être si libérés, des plus durs de l'autisme, de pouvoir respirer, que le ciel pas assez grand pour mon merci vivant...aucun effort ne fut vain pour en arriver là...
Mes envies sont vivantes, juste de la vie dans *levivre, au plus du plus possible, sans se créer de soucis imaginaires avant que les faits soient posés,
accorder tout son temps à *levivre pour *levivre, parfois dans un silence, parfois dans un regard qui en contient tellement...
Chaque jour s'entretient comme le potager, avec beaucoup d'amour, de patience, dans le sens doux vraiment d'aimer son chaque jour et de *levivre que vivant.