Lasse, la fatigue épuisée, couchée se reposer,
il y a eu des moments pleins de délicatesses, où on se croit rêver,
et puis, l'incontournable, le moin bien en autisme,
à tenir bon dedans, à se sentir au delà des limites, car c'est qu'il est rigide,
et puis, le souvenir, bien vite,
des quatorze ans de l'aînée, puis des treize ans de la plus jeune,
et les années rudes qui ont suivi, en décapage de tête, de la mère,
alors, c'est bon de regarder juste,
c'est aussi son passage de vie, de provoquer l'adulte,
sauf que c'est ce qu'il faisait déjà à ses jeunes âges,
alors, poufdeouf,
la différence est juste que pour lui, c'est non stop,
sans pas d'années de souffler,
et de ses quatorze ans, à ses vingt quatre ans de lui,
c'est bientôt treize ans, de rentre dedans, de conflits,
pour le gagner * le grandir, *levivre....
J'ai la nécessité essentielle vitale de me vivre d'autres parts de vie, paisibles, passionnées,
sur le chemin de l'amour,
encore lui!
Je vous embrasse, mon amour, vous me menez tant, depuis toutes ces années, par le bout de mon nez,
par choix
par responsabilité
par folie de les aimer, mes amours
par force de vie qui me garde vivante.