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Le petit bois se regarde, la jambe se lève son cours, pour l'entendre plus près, même si la fraîcheur, les feuilles remuent un peu, un atchoum se laisse faire, un second suit en corps,

hier trente sept degrés, aujourd'hui un vingt deux,

l'être sa cavalcade pour tenter l'équilibre de ses liquides de lui, qui alimentent ses chairs, fleurissent les champs de neurones de jolies fleurs leurs belles,

tout est bon, tout est calme, le sourire se sourit, comme cela fait du bien, que son souffle à servir, à je nous devant soi, vois là, je suis bien là,

j'accepte cette offrande de soirée toute douce, en espérant ivresse que mon fils soit heureux dans sa soirée à lui,

c'est à chaque fois fois son dur, une séparation, à se préparer son cours, à la vivre, puis enfin se la savourer pour se reposer vivre d'une autre façon, se sentir bien moins utile, presque son inutile, pourtant se reposer, prendre un nouveau souffle, est une belle raison de vivre...

aligner quelques mots, entendre la voix de sa mère,

c'est d'une telle puissance,

la vie dedans la vie.