Quand on aime les gens, la vie, ses aimés,
on souhaite tellement pour eux des bouts de soleil, plus et plus encore, pour la planète,
alors parfois cela n'a rien d'étonnant de s'épuiser se tomber si lourdement,
quand des chaos de vie, chez un enfant, un autre, encore un autre, et des aimés,
puis, on se dit qu' on ne peut éviter la vie, on ne peut jamais la gérer,
et se contenter d'offrir ses petits rayons, comme çà, c'est déjà pas si mal,
c'est bon, chaque jour, sans travail obligé matériel, de donner de soi par amour,
c'est si bon de voir les yeux en face, se vivre, s'éclairer de lueurs d'espoirs, de rêves, d'amour...
Un jour, on se dit vraiment, qu'on tentera le tout, pour ne plus s'enfoncer,
et garder pour soi aussi de bels rayons,
et puis donner de l'amour, offre tant de lumières par retour, plus ou moins rapidement,
et quand hier soir, le moulin à café, croquait les grains pour ce matin,
je pensais à ma petite fille chérie,
je ne pourrai pas l'empêcher de souffrir par la vie qu'elle vivra,
mais si je peux éclairer son coeur de bels battements,
comme ceux que ma fille, sa maman, a éprouvé en entendant le café se moudre, en Août,
et bien c'est bien,
et mes envies de pages douces et tendres à écrire, me reviennent au galop,
comme mes envies de transmettre un vécu, sous une forme que je cherche.
L'essence d'une vie à remplir par ses sens à *LESVIVRE, MON AMOUR.