Quelque part, c'est peut être un chance, quand on a connu ô temps, de trouver ensuite,
les grands bouleversements de vie, comme assez simples, finalement,
la tête libérée plus encore d'une vie hors autisme, depuis quatre jours, mesure,
avec la distance, dans les quatre jours,
avec la distance, dans les vingt trois ans,
comme une vie en autisme, reste un immense travail de vie d'un labeur jamais fini,
et,
ensuite, la vie,
paraît d'un simple,
bien souvent,
tellement.
Et pourtant, tout n'est pas simple, il faut accommoder, réagir, chercher sa voie encore,
POUR LE MEILLEUR DE *levivre son temps sur terre.
Et c'est bon de rester conscient, de voir clair au plus près,
l'autisme à vivre, est loin d'être une chance pour la vie alentour à *levivre son instant pur de vie calme, zen, tendre,
il faut galérer, en patience, tant et tant,
ce fut fait!
comme il est bon, le temps présent, sans nostalgie de ses parts douloureuses au passé derrière.
Le temps avance, et c'est bien!
Reste *levivre de pure essence, bien plus encore!
Et à le partager, pour donner de la vie, de l'envie, du désir, de l'amour,
quand on aime aimer,
A VIE!