Un été si chargé jusqu'à présent, tant de leçons de vie, tant à apprendre encore que la sautille du jour fut légère, même si un repassage de quinze jours, bien des nettoyages dans le petit hall, les deux hirondelles et leur trois petits, font un tintouin si amoureux d'aises, le quatrième oisillon mort dans la plante dessous le nid,
il faut voler pour *levivre son temps, prendre et prendre son envol sans s'arrêter de *levivre,
c'est si bon d'être en vie,
après bien des tourmentes de cœur, cela donne de jolis tintements que de *l'écrire *levivre, et puis des flux doux dans les veines, moins de vertiges, une humeur redevenue souriante,
la vie est, et qui vivra verra...dixit celui celle qui ViVat avant moi...
Et cette force ViVe de ce jour m'étonne de regrimper si fort, si léger, si inattendu encore, comme c'est bon,
je te prends ma vie *levivre, je reprends de la vie, encore encore, et puis cette année de plus, le six de ce mois,
c'est aussi là, dans un coin de quelque part, et comme c'est émouvant et éblouissant, ces milliards de coins en soi, un puzzle si précieux, que *levivre d'être *l'être...
Ma vie, je t'aime, tu es ma tendre complice dans les replis de moi, et on veille sur nous, hein? que oui...on se donne la main, on court, on rit, on se surprend à être en vie qu'en vie, pas à genoux, LIBRE, plus et plus encore, pour de belles matières de vie,
avec la douce envie d'une simplicité de vie au plus près,
de l'amour, de l'amour, encore et encore...